A la recherche des dernières brodeuses de Syrie : « J’ai perdu ma maison, mes champs, mais j’ai toujours gardé ce sac » rempli d’ouvrages

Symbole de la diversité du pays, la broderie syrienne a bien failli disparaître durant les treize années de guerre civile. Depuis la chute de Bachar Al-Assad, fin 2024, un groupe de femmes, mené par une septuagénaire allemande, tente de faire survivre cet art vieux comme le monde.Heike Weber (à gauche) et la couturière Daad Katash qui va assembler les broderies sur les vêtements, dans le sous-sol de la maison d’Heike Weber aménagé en atelier à Damas, le 4 octobre 2025.